Triftji Bumps
Concours de skier en bosses
On dit que, à Zermatt, on fait du
ski plus ou moins conservateur. Une rampe qui soit sonorisée
à tout force de juke-boxes comme celle à Laax n'y existe
pas. Des attractions il y en a peu. Mais Triftji Bumps en fait une
exception: une fois dans l'année, toujours vers la fin de la
saison, quelques professionnels croisent des bosses dans la neige nouvelle pour le concours de trois jours: Triftji Bumps.
En cas de conditions de neige très mal, les obstacles deviennent le plus important: les rampes permettent des sautes impressionnants. La compétition de Triftji Bumps est divisée en amateurs et professionnels c'est pourquoi les amateurs sont souvent sous les vainqueurs aussi. Quand-même, en raison des conditions de neige incertaines, la compétition a lieu dans la région du Klein Matterhorn depuis peu de temps. L'avantage c'est qu'il y a plus de spectateurs.
Contrairement à la «half-pipe» à Crap Sogn Gion à Laax, la musique y joue très peu de temps et joue juste un petit rôle. Vous n'allez pas trouver de très grands haut-parleurs. Je crois que les snowboarder aux cheveux longs ne sont pas leurs clients favoris. Parfois il y a une rampe au glacier Théodul mais je n'y ai jamais vu quelqu'un.
En cas de conditions de neige très mal, les obstacles deviennent le plus important: les rampes permettent des sautes impressionnants. La compétition de Triftji Bumps est divisée en amateurs et professionnels c'est pourquoi les amateurs sont souvent sous les vainqueurs aussi. Quand-même, en raison des conditions de neige incertaines, la compétition a lieu dans la région du Klein Matterhorn depuis peu de temps. L'avantage c'est qu'il y a plus de spectateurs.
Contrairement à la «half-pipe» à Crap Sogn Gion à Laax, la musique y joue très peu de temps et joue juste un petit rôle. Vous n'allez pas trouver de très grands haut-parleurs. Je crois que les snowboarder aux cheveux longs ne sont pas leurs clients favoris. Parfois il y a une rampe au glacier Théodul mais je n'y ai jamais vu quelqu'un.
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Dans l'année 2005, je me suis grièvement blessé
les orteils à cause de mes chaussures nouvelles qui étaient trop petites. La seule
chause que je pourrais faire pour descendre c'était prendre le
revers de ma planche pour freiner et aller tout droit pour
m'accélérer. A cette façon, je suis encore plus
vite que beaucoup de skieur autour de moi. Comme les
télécabines de Furri au Gornergrat n'existaient pas
encore, je devais descendre dans la vallée, y prendre le bus
électrique jusqu'à la gare du chemin de fer à
crémaillère puis prendre la télécabine du
Gornergrat au Hohtälli et puis celle au Rote Nase pour visiter
Triftji Bumps comme spectateur. J'y arrive juste au bon moment pour
prendre des photos de la compétition et du départ spectaculaire de plus de 100 concurrents.